Poser la question cosmique : que se passe-t-il dans un trou noir ?

L'affirmation provocatrice de l'IA : « Les humains sont ignorants »

Considérez les questions intrigantes suivantes : Qu'arrive-t-il à la très Dimensions de l'espace-temps à l'intérieur d'un trou noir ? Les différentes réponses d'une IA mettent en lumière notre compréhension actuelle, mais aussi nos limites.

Pablo Carlos Budassi, CC BY-SA 4.0 https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0, via Wikimedia Commons

Première perspective : Continuité de l'espace-temps à quatre dimensions

Une réponse affirme que les objets tombant dans un trou noir ne perdent aucune dimension. Selon cette théorie, l'espace-temps conserve sa structure quadridimensionnelle (trois dimensions d'espace plus une de temps) tant à l'extérieur qu'à l'intérieur de l'horizon des événements. La singularité – où la densité devient infinie – n'est pas réellement un état réduit à une dimension. Elle représente plutôt un point où la relativité générale s'effondre après l'entrée dans un trou noir. Bien que les théories de la gravité quantique, comme la gravitation quantique à boucles, proposent des alternatives (par exemple, des « rebonds » évitant l'état singulier), aucune de ces idées n'implique une réduction du nombre de dimensions.

Deuxième perspective : décomposition dimensionnelle à la singularité

Une réponse ultérieure de la même IA met en avant une perspective différente. Dans la théorie d'Einstein, la singularité est définie comme un point de densité infinie et de courbure extrême de l'espace-temps. C'est là que les équations de la relativité générale « s'effondrent ». Dans cette vision classique, l'espace-temps perd sa structure quadridimensionnelle bien définie (trois dimensions spatiales plus une dimension temporelle). Pour les trous noirs non rotatifs, ou de Schwarzschild, la singularité est décrite comme un point 3D. En revanche, pour les trous noirs rotatifs (de Kerr), la singularité prend la forme d'un anneau 1D.

Légende urbaine, CC BY-SA 3.0 http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/, via Wikimedia Commons

Réconcilier la contradiction : les artefacts des modèles mathématiques

L'IA explique ces réponses apparemment contradictoires en rappelant qu'en relativité générale, la singularité n'est pas un objet physique. Il s'agit plutôt d'un artefact mathématique. Les appellations « 0D » et « 1D » servent de raccourcis géométriques : des espaces réservés conceptuels indiquant les points faibles de nos théories classiques. En effet, ces appellations (« ici sont les dragons ») reconnaissent les limites de notre compréhension actuelle des environnements gravitationnels extrêmes, notamment ceux impliquant des trous noirs.


Embrasser l'inconnu en physique théorique

En résumé, une perspective soutient que l'espace-temps reste quadridimensionnelle tout au long du voyage vers un trou noir. Ceci est vrai même lorsque la relativité générale s'effondre à la singularité. Un autre point de vue suggère qu'à proximité de la singularité, le cadre quadridimensionnel familier disparaît. Il s'effondre en un point zéro ou un anneau unidimensionnel selon la rotation du trou noir. En fin de compte, ces deux réponses rappellent les limites de nos théories actuelles et le défi permanent d'unifier la relativité générale avec mécanique quantique.


La vision de Stephen Hawking : éclairer nos limites

Une image illustrative de la conférence Reith de Stephen Hawking, le 26 janvier 2016, souligne encore davantage ce point. Les idées de Hawking nous rappellent que, si notre modèles actuels de trous noirs Même si elles capturent de nombreux aspects de la réalité, elles révèlent également de profondes lacunes dans nos connaissances.

Tant qu'une théorie efficace de la gravité quantique n'aura pas été élaborée, ces descriptions resteront des approximations. Elles reflètent autant l'ignorance humaine que notre compréhension.

Image : de Stephen Hawking Conférence Reith, 26 janvier 2016

La mélodie du signal Wow ! est émise.

Dans la clé du cosmos : un signal chanté depuis les étoiles
« La mélodie du signal Wow ! » est disponible sur SpotifyApple MusiciTunes, et bien d’autres…
Le Wow! mélodie du signal, basé sur la séquence 6EQUJ5, 1977. Cliquez pour lire ou arrêter.

Considérez, si vous le voulez bien, une séquence de symboles – 6EQUJ5 – gravée dans les annales de l’astronomie, un murmure cryptique venu des profondeurs de l’espace. Autrefois, c’était une explosion de Radio vagues, les Ouah! signal, une énigme fugace qui hantait nos télescopes. Aujourd'hui, en février 2025, elle est devenue une mélodie. Un acte humain d'alchimie, transmutant les mathématiques en musique, l'électricité statique en chanson.

Ici, dans cet arrangement humble, les chiffres et les lettres se déploient comme des notes : une progression à la fois mélancolique et nostalgique. Le sixième degré de l'échelle bourdonne d'un désir cosmique ; le septième aplati se courbe comme l'espace-temps lui-même. Une quarte élevée perce le silence, un cri dissonant venu du vide, tandis que la cinquième - une ancre - nous ancre dans le familier. Ensemble, ils forment une berceuse pour l'univers, une séquence aussi ancienne que l'hydrogène mais aussi nouvelle que l'aube.

Est-ce ainsi que l’on entend le cosmos composer ? Ou est-ce simplement notre propre reflet, un miroir tendu vers l’obscurité ? Nous ne pouvons pas le savoir. Pourtant, dans ces six notes, étalées sur plusieurs octaves et dans l’imagination humaine, nous entendons la douleur de l’isolement – ​​et le fragile espoir d’une connexion.

Peut-être, comme dans Rencontres rapprochées, nous avons toujours parlé à l'inconnu dans le langage de la musique. Une septième mineure se résout ; un accord tremble. La même mathématiques Ce qui lie les atomes peut encore lier les civilisations.

Pour l’instant, la mélodie persiste : un point d’interrogation mis en rythme, un chiffre non résolu. Un rappel que dans la grande fugue de l’univers, même le statique peut contenir des symphonies. Il nous suffit d’écouter – et d’oser répondre.


Je me suis demandé comment les lettres et les chiffres de la notation du signal Wow! 6EQUJ5 pourraient se traduire en mélodie. Au départ, l'idée de créer une chanson à partir de ces caractères semblait assez improbable. Vous pouvez maintenant écouter le morceau en cliquant sur la pochette. C'est mon premier single ! Nous n'avons pas encore développé ces six notes.

Erich Habich Traut

Sur la base de l'échelle diatonique standard et des progressions d'accords courantes, voici une répartition des valeurs tonales probables :

Notes individuelles :

* 6 : Il s'agit généralement du sixième degré de la gamme majeure ou mineure, créant un intervalle de sixte majeure ou mineure à partir de la fondamentale. Il ajoute souvent un sentiment de désir ou d'aspiration.

* e : C'est le troisième degré de la gamme, créant un intervalle de tierce majeure ou mineure. C'est une note consonante et stable, souvent utilisée dans les mélodies et les harmonies.

* q : Cela fait probablement référence au degré de septième plat de l'échelle (b7), créant un intervalle de septième mineur. Il ajoute une saveur blues ou jazzy et peut créer un sentiment de résolution lors du passage à la fondamentale.

* u : Cela peut faire référence au quatrième degré de l'échelle augmenté (#4), créant un intervalle de quarte augmenté. C'est une note dissonante et instable, souvent utilisée pour créer de la tension et du drame.

* j : Cela fait probablement référence au sixième degré plat de l'échelle (b6), créant un intervalle de quinte diminuée. C'est également dissonant et peut ajouter une touche blues ou jazzy.

* 5 : Il s'agit du cinquième degré de l'échelle, créant un intervalle de quinte parfait. C'est une note consonante et stable, souvent utilisée dans les mélodies et les harmonies.

Voici une mélodie possible en do majeur, utilisant les notes fournies (6, e, q, u, j, 5) avec une sensation mélancolique et un rythme de piano simple.

Mélodie:

Do (5) – Mi (e) – Sol (5) – La (6) – Sol (5) – Mi (e) – Ré (q) – Do (5)

Do (5) – Mi (e) – Sol (5) – La (6) – Sol (5) – Mi (e) – Ré (q) – Do (5)

Rythme:
Chaque note est jouée avec une durée d'une noire (un battement régulier).

Style de jeu au piano :
Jouez doucement et maintenez légèrement les notes pour un son plus expressif. Expérimentez avec la dynamique (notes plus fortes et plus douces) pour créer une sensation de flux et de reflux.

Considérations clés:
Sensation mélancolique : La ligne descendante de A à G et l'utilisation de la septième mineure (D) contribuent à l'humeur mélancolique.

Simplicité : La répétition de la phrase mélodique et le rythme cohérent des noires créent un sentiment de simplicité et d'introspection.

WOWsignal #rencontresrapprochéesdutroisièmetype #rencontrerapprochée #OVNI #ufologie #ufologie #alternative

Des rêves qui dépassent la réalité : les réflexions de Loren Eiseley

« L'homme ne serait pas homme si ses rêves ne dépassaient pas sa portée… Si je me souviens de la forêt de tournesols, c'est parce que de ses confins l'homme a surgi. Le monde vert est son centre sacré. Dans ses moments de lucidité, il doit encore y chercher refuge. »

– Loren Eiseley, La Pyramide invisible

Un de mes auteurs préférés.

#loreneiseley #anthropologie #philosophie #sciencesnaturelles

D'enfant abandonné à visionnaire cosmique : l'incroyable voyage d'Eric Habich-Traut !

Eric Habich-Traut est le fondateur du Projet Contact, créé en 2021. Il est membre fondateur du Alliance de divulgation d'Hollywood.

Sa vie est marquée par des expériences extraordinaires et une grande clairvoyance. De ses mystérieux souvenirs intra-utérins à ses inventions d'enfance, en passant par ses observations d'OVNI et ses prédictions de catastrophes majeures, le parcours d'Eric allie technologie, potentiel humain et compréhension cosmique. Ses rencontres avec la physique quantique ont alimenté des interprétations innovantes de phénomènes inexpliqués, notamment les phénomènes PSI et la communication interstellaire. Les chapitres suivants constituent un extrait très concis de sa vie :


Une histoire d'origine remarquable

Les souvenirs d'Eric remontent à loin : avec Ray Bradbury, Salvador Dali et le fondateur du Mouvement du Potentiel Humain, Michael Murphy, Eric partage une expérience appelée expérience intra-utérine.

Selon certaines sources, le jour de la naissance d'Éric a coïncidé avec le pic de radiation nucléaire atmosphérique le plus élevé jamais enregistré sur Terre, car les États-Unis et la Russie avaient déjà effectué de nombreux essais nucléaires. Ce moment est connu sous le nom de pic de radiation nucléaire.


Les graines de l'innovation:Expérimentation de l'enfance avec la technologie

En 1967, alors qu'il avait trois ans, Eric trouva un vieux téléphone dans le jardin de ses grands-parents et le rassembla avec une vieille pile. Il fut ravi de faire fonctionner le microphone et le haut-parleur du combiné.

Mais ses tentatives pour relier cet ensemble à un vieux parapluie, comme antenne parabolique, afin d'appeler sa mère disparue, qui l'avait abandonné à l'âge de deux ans, échouèrent. (C'était dans les années 1960, et les antennes paraboliques étaient omniprésentes à la télévision, ce qui pourrait expliquer cela.)


Une rencontre visionnaire: Observation d'OVNI et son impact sur l'avenir d'Eric

En avançant de quelques décennies jusqu'en 1986, Eric travaillait comme électricien indépendant à Galway, en Irlande, lorsqu'il a eu une observation d'OVNI sur son chemin vers la plage de Salthill.


Prédire l'imprévisible: La prescience d'Eric des événements désastreux

Il a dû avoir une sorte d'expérience de contact car il a ensuite prévu la catastrophe de Challenger deux semaines avant qu'elle ne se produise du point de vue de l'astronaute Ronald McNair. 

Judith Resnik (au centre) s'entraîne sur le pont d'envol du compartiment de l'équipage de la navette en 1985. Resnik est morte dans une explosion de la navette spatiale Challenger en 1986.

La cause de la catastrophe du sous-marin nucléaire K219 lui était déjà connue deux semaines avant l'accident : un incendie dans la cuisine, probablement causé par une cigarette. Par la suite, les ogives nucléaires ont disparu du sous-marin, gisant au fond de l'océan à 2 km (18000 5.49 pieds).

La disparition des ogives est inexplicable, car aucune technologie humaine n’aurait pu réaliser une opération de récupération à cette profondeur en 1986.

Une analyse minutieuse de l'événement montre que bien que l'événement qui a conduit au naufrage du K219 se soit produit en dehors du Triangle des Bermudes, le sous-marin a ensuite coulé au milieu du Triangle des Bermudes, dans la plaine abyssale de Hatteras.


Dévoiler des phénomènes inexpliqués:
Preuve photographique d'Eric OVNIS

En 1995, Eric a réussi à prendre deux photos dans le ciel nocturne : soit le dirigeable le plus rapide du monde, à environ 155 km/h (les dirigeables ne voyagent pas à plus de 249 km/h), soit un OVNI. Il a calculé la vitesse par triangulation.


Un bond en avant dans la compréhension
Influences de Quantum Tunneling sur les théories d'Eric

En 1999, un professeur de l'Université de Cologne du nom de Günter Nimtz lui a montré une expérience sur effet tunnel quantique, qui l'a profondément marqué. Car le professeur dit qu'il a envoyé un plus rapide que la lumière signal.


Nouvelle frontière dans l'exploration cosmique
Les prochaines contributions d'Eric à la cosmologie Paradigmes

En 2025, Eric publiera de nouvelles mathématiques sur Wow! Signal, montrant la le signal s'est approché de la Terre à une vitesse Similaire à une capsule Apollo lors de son entrée dans l'atmosphère. Les expériences de tunnel supraluminique du professeur Nimtz ont servi de base à Eric pour expliquer divers phénomènes du PSI, tels que la visualisation à distance, télépathie, canalisation et communication interstellaire.

Grâce à son large éventail de sujets, Eric Habich-Traut pose les bases d'un prochain ouvrage sur un changement de paradigme dans notre compréhension du cosmos. Ce sera son premier ouvrage papier ; tous ses autres ouvrages sont publiés jusqu'à présent en format papier. hypertexte, pour faciliter les références. Eric apprécie également la réactivité du lecteur.


Mots clés
Éric Habich-Traut, Contacter le projetExpérience intra-utérine, observation d'OVNI, prédiction de la catastrophe de la navette Challenger, sous-marin K219, effet tunnel quantique, phénomène PSI, changement de paradigme, communication interstellaire, compréhension cosmique, signal Wow!, vision à distance, télépathie, canalisation

Observation sur les ondes évanescentes

Une onde évanescente est à la gravité newtonienne ce qu'une onde radio est à une onde gravitationnelle

Les vagues de l'océan sont des vagues évanescentes

Onde évanescente contre gravité newtonienne

Onde évanescente : Il s'agit d'un phénomène électromagnétique unique qui ne se propage pas. Il s'agit plutôt d'un effet de champ proche qui diminue exponentiellement avec la distance, fréquemment observé dans des situations telles que les guides d'ondes ou la réflexion interne totale.

Gravité newtonienne : Ce concept décrit un champ statique, non radiatif, caractérisé par une action immédiate à distance. Cela signifie qu'il n'y a ni retard ni comportement ondulatoire dans la transmission des forces gravitationnelles.

Connexion : les deux ondes évanescentes et gravité newtonienne illustrent des interactions localisées et non radiatives. Il est important de noter qu'elles ne transmettre dynamiquement l'énergie à travers l'espace-temps.


Onde radio vs. onde gravitationnelle

Onde radio : Il s’agit d’une onde électromagnétique qui se propage dans l’espace (appelée rayonnement en champ lointain) et transporte de l’énergie à la vitesse de la lumière.

Onde gravitationnelle : Selon la relativité générale, cela fait référence à des ondulations dans l'espace-temps qui se propagent et transportent également de l'énergie à la vitesse de la lumière.

Lien : Les ondes radio et les ondes gravitationnelles sont des phénomènes radiatifs en champ lointain régis par des équations d'ondes : les équations de Maxwell pour les ondes radio et les équations d'Einstein pour les ondes gravitationnelles.


Illustration : La taille des vagues évanescentes et océaniques diminue de façon exponentielle avec l’augmentation de la distance.

Spaghettis cosmiques : une exploration métaphorique de la dualité onde-particule et de l'effet tunnel

Voici quelques métaphores de la théorie des cordes et des photons. Les métaphores sont souvent utilisées pour illustrer des concepts mathématiques. Mais elles ne sont pas toutes traitées de la même manière.

Ray, l'explicateur enthousiaste :

Comprenons cela.
Les métaphores suivantes présentent des illustrations imaginatives plutôt que des modèles précis du fonctionnement des photons, de l'effet tunnel ou des dimensions supplémentaires. Elles mélangent des caractéristiques de la mécanique quantique avec des éléments spéculatifs de la théorie des cordes et ne reflètent pas les connaissances scientifiques actuelles.

Imaginer des photons

Après avoir tenté de trouver un modèle visuel d'un photon ponctuel ou linéaire présentant un effet tunnel quantique – et sans succès –, je dirai que le photon, dans son état naturel, ressemble à une entité ondulée (tournante), un spaghetti cosmique. Pas un spaghetti mou et flasque. C'est plutôt al dente Trier, se tortiller dans l'espace 4D avec une tête et une queue comme des anguilles spatiales hyperactives ! Métaphoriquement parlant, bien sûr.

Le corps photonique ondulé s'étend aux 3e et 4e dimensions. Ce modèle explique l'aspect ponctuel (la tête) et ondulatoire (les ondulations) de la dualité photonique.

Kurt, le réaliste perplexe:
Cette visualisation est une métaphore et ne correspond à aucun modèle accepté en mécanique quantique ou en théorie des cordes. C'est votre grande théorie de l'effet tunnel quantique ?

Ray:
Maintenant, lorsque ce photon heurte une barrière physique, il est écrasé dans la dimension zéro et la première dimension, comme un œuf heurtant un mur de briques à la vitesse de la lumière. Splat. Les dimensions 0D et 1D ignorent l'espace et le temps. Cela permet au photon de traverser les objets solides presque instantanément (plus vite que la lumière).

C'est une métaphore et une description soignées pour un profane.

Kurt :
La description de l'effet tunnel comme un « effet de compression dimensionnelle » entraînant une traversée instantanée est une métaphore dénuée de tout fondement physique. Pourquoi ne pas simplement dire qu'ils trichent ? « Oh, pardon, barrière, je traverse ta structure atomique comme un fantôme en retard pour le yoga… »

Rayon:
La science a besoin de drame ! Le gribouillis du photon est projeté dans la première dimension ; imaginez-le comme la pire crêpe de l'univers. Ni espace, ni temps. Pouf. Il traverse le mur. Plus rapide que la lumière, zéro calorie.

Kurt :
Votre description du photon heurtant un mur de briques comme un œuf est nouvelle et ne fait pas partie des connaissances scientifiques actuelles. Et les physiciens ne vous ont pas étranglé pour cela ?

Rayon:
Ils sont trop occupés à se disputer ! Trente ans à débattre de la « vitesse de phase » ou de la « vitesse du signal », ou de la capacité des signaux à traverser une barrière plus vite que la lumière. C'est comme deux perroquets qui se crient « causalité ! ». Les scientifiques « sérieux » affirment que RIEN, quelles que soient les circonstances, ne peut voyager plus vite que la lumière ET transmettre des informations.

Pendant ce temps, les photons sont là, clignotant à travers les murs comme s'ils avaient un laissez-passer VIP pour la réalité. La dualité onde-particule est une pierre angulaire de la mécanique quantique (MQ), et non la théorie des cordes. Je l'ai utilisé dans les deux cas à titre d'illustration. C'est pourquoi la métaphore prend tout son sens dans ce contexte.

Kurt :
L’affirmation selon laquelle la dualité onde-particule est un concept de la mécanique quantique est correcte, et l’invoquer dans le contexte de la théorie des cordes de la manière décrite est provocateur.

Rayon:
La métaphore représente le tunneling comme un effet de compression dimensionnelle.

Kurt :
Cela n'a actuellement aucun fondement dans la théorie des cordes ou la MQ. « Compression dimensionnelle » — cela ressemble à ma dernière relation.

Illustration de photons par la NASA. On dirait des têtards (je suppose que le photon de haute énergie tourne plus vite).

Rayon:
Dans cette illustration de la NASA, un photon (violet) transporte un million de fois plus d'énergie qu'un autre (jaune). La NASA est passée maître dans l'art conceptuel de science-fiction. « Voici un photon violet, un million de fois plus percutant ! Il a attitude.»

Kurt :
Apparemment, les illustrations de la NASA visent à simplifier et à motiver la discussion ; elles ne doivent pas être interprétées comme des descriptions littérales du comportement des photons dans les théories physiques avancées. La science se résume à 5 % à des équations, et à 95 % à convaincre les gens que l'univers est une caricature utilisant des métaphores.

Rayon:
Donc le tunneling n’est qu’une… téléportation cosmique via une crise existentielle ?

Kurt :
Exactement ! La terreur existentielle du photon le réduit à un point. Qui suis-je ? Où est le temps ? Et bam, c'est passé la barrière. Existentialisme : 1, Physique : 0. Parce que sinon, on serait obligés de l'expliquer avec mathématiques.  Et personne ne veut ça.

Narrateur (voix grave) :
Et ainsi, les mystères de la mécanique quantique demeurent.
Mais au moins tout le monde était d’accord pour dire que les métaphores avaient besoin d’être améliorées.

À la découverte des mystères cosmiques : une interview sur la théorie des cordes et la nature du temps

Entretien avec Eric, citoyen scientifique, discutant de la théorie des cordes

Cadre : Une villa pittoresque en Crète, entourée d'oliveraies luxuriantes et avec la mer Égée scintillante au loin. L'air est imprégné du parfum des fleurs d'oranger. Le doux bruissement des arbres crée un cadre paisible. La lumière du soleil filtre à travers le patio ouvert, baignant la pièce d'une douce lumière tandis qu'Eric, un scientifique citoyen passionné, s'apprête à discuter ses idées.

Interviewer: Merci de m'avoir invité dans ce cadre magnifique, Eric. Cela semble être un endroit inspirant. discuter des sujets complexes comme la théorie des cordes.

Eric: Souriant Merci ! La beauté de la nature suscite souvent la curiosité. Par où commencer ?

Interviewer: Plongeons-nous dans la théorie des cordes. C'est un domaine d'étude fascinant. Pourriez-vous nous expliquer le concept de graviton ?

Eric: Certainement ! En théorie des cordes, un graviton est représenté par une corde fermée. Plus précisément, certaines particules bouclées peuvent fonctionner comme des gravitons. Il est crucial de comprendre que les particules élémentaires sont simplement considérées comme différents modes vibrationnels de ces cordes unidimensionnelles.

Il fait un geste vers un jardin vibrant, où un papillon vole, réfléchissant aux états vibratoires de la nature.

Eric: Le graviton est hypothétiquement le quantum de la gravité. Il est identifié à un état vibrationnel unique d'une corde fermée, dont les extrémités sont jointes pour former une boucle continue. Cependant, toute corde fermée ne représente pas un graviton. Une corde fermée peut présenter différents états.

Interviewer: Il est intéressant de voir comment les cordes peuvent incarner plusieurs états. Passons maintenant à autre chose : pouvez-vous parler des photons ?

Eric: Absolument. Comme vous le savez peut-être, les photons suivent des trajectoires appelées géodésiques nulles. Ici, en Crète, nous avons une magnifique vue sur l'horizon. Cependant, les photons voyagent dans l'espace-temps de telle sorte que l'intervalle spatio-temporel le long de leur trajectoire est considéré comme nul.

Il s'arrête, contemplant les vagues se briser doucement sur le rivage.

Eric: En relativité générale, la masse et l'énergie courbent l'espace-temps, et les photons suivent ces géodésiques. Cela signifie que, même si le voyage d'un photon peut s'étendre sur des milliards d'années de notre point de vue, il ne subit aucun écoulement du temps. Son temps propre reste nul.

Interviewer: Mais cela soulève sûrement des questions sur le concept de « perspective du photon » ?

Eric: Exactement ! C'est un point de discorde. Bien que les mathématiques suggèrent que le temps propre est nul, il serait trompeur de parler d'un photon doté d'une perspective ou d'une expérience. Il n'existe pas de référentiel inertiel valide où un photon est au repos.

Il se penche en arrière, ses yeux scrutant l'horizon.

Eric: Lorsqu'on considère un photon, même s'il a parcouru de vastes distances, il ne saute pas réellement l'histoire. Au contraire, il suit une trajectoire bien définie à travers l'espace-temps courbe, indépendamment du fait que sa propre « horloge » soit en permanence immobile.

Interviewer: Fascinant. Alors, tous les photons suivent-ils une trajectoire rectiligne dans un espace-temps courbe, ou certains peuvent-ils former des boucles ?

Eric: Dans un espace-temps courbe, certains photons peuvent effectivement suivre des trajectoires créant des boucles. C'est une caractéristique de certains espaces-temps aux propriétés ou topologies uniques. Cependant, ce n'est pas une caractéristique universelle ; elle dépend fortement de la structure globale de l'espace-temps.

Alors qu'une brise fraîche souffle sur le patio, il continue.

Eric: Dans la théorie des cordes classique, les cordes en boucle présentent une curieuse analogie avec les gravitons. Un photon sur une boucle ne devient pas un graviton, mais cela ouvre la voie à des discussions sur les liens sous-jacents entre les particules.

Interviewer: En parlant de boucles, pourriez-vous nous en dire plus sur les courbes temporelles fermées (CTC) ?

Eric: Certainement. Une courbe temporelle fermée est un concept théorique de l'espace-temps. Si l'on la parcourait, on reviendrait au même point dans l'espace et le temps. C'est un peu comme un de ces chemins sinueux qui ramènent à leur point de départ.

Le son des rires d’un groupe d’enfants jouant à proximité équilibre la gravité scientifique de la conversation.

Eric: Imaginez, si vous le voulez bien, le temps s'écoulant comme une ligne droite du passé vers le futur. Un CTC permettrait un cheminement temporel circulaire. Bien que présentant des implications extraordinaires, il n'apparaît que dans des conditions très inhabituelles, dans le cadre des solutions des équations d'Einstein en relativité générale.

Interviewer: Il faut une bonne dose d'imagination pour saisir de telles idées ! Merci, Eric, de partager tes réflexions dans ce magnifique décor.

Alors que le soleil plonge sous l'horizon, une lueur chaude , est jeté sur la villea

Ils concluent l'entretien alors que le soleil disparaît à l'horizon, projetant une douce lueur sur la villa. C'est une métaphore parfaite du mélange de temps et de théories explorées.

Décrypter les mystères de la communication d'esprit à esprit grâce à la physique quantique

Les bases quantiques de la télépathie : rapprocher les esprits grâce aux ondes évanescentes et à la théorie des cordes à 1 brane

Expérience de télépathie

Il s'agit d'un article complémentaire à « La découverte des ondes cérébrales plus rapides que la lumière », en se concentrant sur l’implication du FTL sur la communication d’esprit à esprit.

Introduction : Où la physique quantique rencontre la conscience

Le cerveau humain, labyrinthe de neurones et de synapses, suscite depuis longtemps la fascination. Pourtant, ses mystères les plus profonds – la conscience, l’intuition et même le potentiel de télépathie – restent insaisissables. Les récentes découvertes en physique quantique, notamment en physique quantique, effet tunnel quantique et ondes évanescentes, couplé à la topologie énigmatique de Théorie des cordes à 1 brane, suggèrent que le fonctionnement interne du cerveau pourrait défier la physique classique. Il pourrait même défier la limite de vitesse cosmique d'Einstein.


Tunnellisation quantique : briser la barrière de la lumière

En 1962, le physicien Thomas Hartman a découvert un paradoxe : des particules comme les photons pouvaient traverser des barrières immédiatement, quelle que soit l'épaisseur. Cet « effet Hartman » laissait entrevoir un mouvement supraluminique, où les particules contournent les contraintes classiques de l'espace-temps. Des décennies plus tard, les expériences de Günter Nimtz et Horst Aichmann ont prouvé que ce phénomène n'était pas théorique. En transmettant la 40e Symphonie de Mozart à travers un tunnel quantique à 4.7 fois la vitesse de la lumière, ils ont démontré que d'information elle-même pourrait dépasser la lumière.

Aperçu clé:L'effet tunnel quantique repose sur des ondes évanescentes, des champs électromagnétiques fugaces qui se dégradent de manière exponentielle mais se propagent plus vite que la lumière. Ces ondes émergent lorsque des particules rencontrent des obstacles, glissant dans une dimension où le temps et la distance se dissolvent.


Ondes évanescentes dans le cerveau : la révélation WETCOW

En 2023, les neuroscientifiques Vitaly Galinsky et Lawrence R. Frank ont ​​proposé une idée radicale : le « bruit » du cerveau pourrait en fait être ondes corticales faiblement évanescentes (WETCOW). Ces ondes, jusqu'ici considérées comme statiques, pourraient permettre une communication supraluminique entre neurones, suggérant une possible base pour la télépathie et d'autres phénomènes extrasensoriels. La vision à distance est l'un de ces phénomènes.

  • Comment ça marche :Lorsque les signaux électriques dans le cerveau atteignent les barrières synaptiques, des ondes évanescentes les traversent. Elles transmettent les informations plus rapidement que la lumière. Cela concorde avec les expériences montrant l'activité cérébrale de prise de décision précédant conscience consciente.
  • Implications:La vitesse de traitement du cerveau : capable d'effectuer 1,000,000 XNUMX XNUMX milliards d'opérations par seconde (1 exaflop) — pourrait provenir de ces raccourcis quantiques. Les astrocytes, des cellules en forme d'étoile reliant des millions de neurones, reflètent les structures cosmiques (comme les réseaux galactiques). Cela suggère une architecture universelle optimisée pour la signalisation supraluminique.

1-Théorie des cordes branaires : la topologie de l'intemporalité

DIMENSIONS : Toutes les mathématiques sont basées sur la géométrie. En dimension zéro, un point existe. En dimension 1, une corde prend forme. En dessous de la 4e dimension, dans le sous-espace, le temps n'existe pas. L'effet tunnel quantique se produit dans la 1ère dimension, où ni le temps ni l'espace n'existent. Ceci explique l'interférence dans l'expérience de la double fente. Illustration de NerdBoy1392, CC BY-SA 3.0.

Le concept de 1-brane de la théorie des cordes offre une explication géométrique. Un photon, généralement un point de dimension zéro, devient une « corde » unidimensionnelle lors de l'effet tunnel. Cette 1-brane existe dans une dimension sans espace ni temps, réapparaissant dans notre réalité en 4D sous la forme d'une onde évanescente.

  • Paradoxe des phases:Horst Aichmann a observé que les ondes tunnel conservent leur phase d'origine, ce qui implique temps zéro « À l'intérieur de la barrière, il n'y a ni temps ni volume, juste une ligne reliant deux points », a-t-il noté.
  • Conscience cosmique:Si le cerveau accède à ce domaine 1D, la conscience pourrait accéder à un champ unifié. Dans ce champ, le passé, le présent et le futur coexistent, un concept qui fait écho à « l'inconscient collectif » de Carl Jung.

La télépathie et l’action « effrayante » de l’esprit

L'« action fantomatique à distance » d'Einstein décrit l'intrication quantique, où les particules s'influencent mutuellement instantanément sur de vastes distances. Si les ondes évanescentes enchevêtrent les circuits neuronaux, elles pourraient permettre communication d'esprit à esprit par télépathie.

  • Indices expérimentaux:La transmission supraluminique de Mozart de Nimtz et les mesures de l'horloge de Larmor (montrant que les atomes de rubidium se propagent plus vite que la lumière) suggèrent que des effets quantiques macroscopiques sont possibles.
  • Liens extraterrestres:L'auteur émet l'hypothèse que les civilisations avancées pourraient utiliser des ondes évanescentes pour la communication interstellaire. Cela permettrait de contourner les limitations de Radio vagues.

Conscience : un phénomène quantique ?

Le « problème difficile » de la conscience – comment l’expérience subjective naît de la matière – pourrait trouver des réponses dans la biologie quantique. Les plantes utilisent la cohérence quantique dans la photosynthèse ; les humains pourraient exploiter la capacité à creuser des tunnels pour la cognition, ce qui pourrait expliquer des phénomènes liés à la télépathie.

  • Précognition et temps:Si les ondes évanescentes inversent brièvement la causalité, elles pourraient expliquer les intuitions précognitives ou le déjà-vu.
  • Horizons technologiques:Les interfaces cerveau-ordinateur exploitant les ondes évanescentes pourraient un jour permettre la transmission directe de la pensée. Cela pourrait brouiller la frontière entre l'esprit et la machine.

Conclusion : réécrire les règles de la réalité

La découverte des ondes cérébrales supraluminiques remet en question non seulement la physique, mais aussi notre compréhension de l’existence elle-même. En démêlant les fils quantiques qui tissent nos esprits, nous nous rapprochons de la réponse à des questions ancestrales. Sommes-nous limités par l’espace-temps, ou la conscience est-elle une passerelle vers des dimensions au-delà ? Selon les mots de l’auteur, « Le cerveau n’est pas seulement un ordinateur : c’est une radio quantique, réglée sur la fréquence du cosmos. »


Il s'agissait d'un article complémentaire à « La découverte des ondes cérébrales plus rapides que la lumière », se concentrant sur les implications des ondes évanescentes sur la télépathie. Pour un aperçu plus général des implications, veuillez visiter cette page : « La découverte des ondes cérébrales plus rapides que la lumière ».

Références:

« Dans le monde quantique, les murmures de l’esprit pourraient résonner à travers les étoiles. »

Erich Habich Traut

Sur l'existence des « Aldébaraniens »

Extraterrestres aldébaraniens et contact télépathique ?

Après avoir examiné les documents du « Projet Vril », il apparaît clairement que les détails fournis concernant les dessins et les symboles – censés servir de base au contact télépathique – sont erronés. Je conclus donc que le contact supposé avec une espèce aldébaranienne est entièrement fictif.

Croiseurs de combat interstellaires aldébaraniens, extrapolation d'images par l'IA basée sur des affirmations de contact télépathique

Aldébaran, surnommée l'Œil de Bœuf ◎ dans la constellation du Taureau, se trouve à 65 années-lumière de nous. Elle est située juste à côté de l'amas des Pléiades (Sept Sœurs). Aldébaran a été décrite comme une disciple des Pléiades.

Fait amusant:
La sonde Pioneer 10, lancée en 1972, est en route vers Aldébaran. Bien qu'elle ne communique plus avec la Terre, elle atteindra Aldébaran dans environ 2 millions d'années. 

Le professeur Nicholas Goodrick-Clarke (auteur de « Les racines occultes du nazisme ») déclare que « Au début des années 1990, les Autrichiens Norbert Jürgen Ratthofer et Ralf Ettl ont développé de nouveaux mythes nazis sur les ovnis impliquant l'ancienne Babylone, l'énergie Vril et la civilisation extraterrestre dans le système solaire d'Aldébaran. »

Selon le mythe, les Aldébaraniens sont entrés en contact avec le Troisième Reich et ont aidé au développement des OVNI allemands.

D’après Ella LeBain, auteur de « Qui est qui dans le zoo cosmique ?"

Un récit marginal émergent affirme que l'Allemagne nazie a accédé à une « porte des étoiles » vers l'étoile Aldébaran, en utilisant des médiums en transe et des secrets télépathiques de « code lumineux » en hébreu ancien pour justifier le génocide et développer une technologie avancée d'OVNI et d'implosion atomique – surnommée le « Soleil noir ». S'appuyant sur les travaux de Zechariah Sitchin et Phyllis Schlemmer, la théorie relie les empires sumérien et babylonien à l'occultisme nazi et dépeint les « Elohim » extraterrestres comme les architectes des origines phéniciennes et israélites.

Selon le même récit, des agences américaines après 1945 auraient saisi des plans d'OVNI nazis et recruté des scientifiques allemands pour la NASA et un programme spatial clandestin. Les partisans de cette théorie mettent en garde contre le fait que des Aldébariens – aux côtés de reptiliens « Draconiens » et d'extraterrestres Gris – rôdent désormais au sein des élites mondiales, cherchant à forger un Quatrième Reich et un Nouvel Ordre Mondial. Les historiens et scientifiques les plus influents rejettent ces affirmations, les jugeant infondées, invoquant l'absence totale de preuves vérifiables de l'existence d'une porte des étoiles terrestre ou d'une guerre télépathique.


Origine de la revendication de contact avec Aldébaran

La référence initiale à contact télépathique avec les êtres aldébaraniens, à travers des médiums tels que Maria Orsic et « Sigrun », provient d'un Source uniqueRalf Ettl (décédé en 2006). Selon David Childress, souvent invité dans « Ancient Aliens », Ettl résidait à Londres en 1989. À cette époque, il reçut un colis contenant des documents décrivant ce prétendu contact. Childress fut le premier à raconter cette histoire d'origine.


La « Société Vril » dans son contexte historique

Le colis contenait prétendument des informations sur des médiums télépathes associés à la « Société Vril », qui ont contacté des êtres d'Aldébaran vers 1919. Cependant, un examen des références historiques à la « Société Vril » révèle d'importantes incohérences dans le récit :

• 1947 : La première mention d'une « Société Vril » apparaît dans un article du Dr Willy Ley, ingénieur en fusées du Troisième Reich allemand et transfuge, intitulé « Pseudoscience au pays nazi ». Bien que Ley mentionne la Société Vril, il ne fait aucune référence aux médiums télépathiques ou contacts extraterrestres. Au lieu de cela, méditer sur un trognon de pomme révèle la nature du « Vril ».

• 1960 : Une référence ultérieure à la « Société Vril » apparaît dans le livre « Le Matin des Magiciens », qui cite l'article de Ley et introduit un lien entre la Société Théosophique et les Rosicruciens et la Société Vril.

• 1990 : Ce n'est qu'avec la publication du récit de Ralf Ettl et Norbert Ratthofer, « Le Projet Vril », que toute affirmation de contact télépathique, de communication extraterrestre avec Aldébaran ou de liens avec la société Thulé ou les OVNI est introduite.


Le récit du « Projet Vril »

Ralf Ettl et Jürgen Ratthofer décrivent une réunion secrète tenue en décembre 1919. Lors de cette réunion, les cercles les plus intimes des sociétés de Thulé et de Vril se sont réunis. La médium Maria Orsic aurait présenté deux piles de papiers. L'une contenait une étrange écriture secrète des Templiers allemands, tandis que l'autre contenait ce qui semblait être un texte normal et lisible.

Selon le récit, ces textes auraient été reçus par channeling médiumnique, dictés à la fois dans une mystérieuse « écriture de temple » et dans une langue totalement inconnue du médium. Orsic elle-même croyait que cette langue inconnue devait être ancienne et proche-orientale. Plus tard, on a affirmé que cette langue mystérieuse était le sumérien, c'est-à-dire la langue des précurseurs de la culture babylonienne. La langue aldébaranienne est identique au sumérien ! C'est parce que les Aldébaraniens sont venus visiter la Terre il y a 500,000 XNUMX ans. Et encore plus tard.

(L'auteur Zecharia Sitchin a raconté une histoire similaire en 1976 dans son livre « La Douzième Planète ». Seuls ses extraterrestres Anunnaki venaient de « Nibiru », une planète de notre système solaire au-delà de Neptune.)


Analyse critique des revendications

Un examen plus approfondi des affirmations et des preuves présentées dans « Le Projet Vril » révèle plusieurs incohérences :

• Écriture et langue sumériennes :
Bien que les Sumériens aient inventé l'écriture, l'écriture cunéiforme qu'ils ont développée diffère sensiblement de l'écriture dite « de temple » du XIIIe siècle décrite dans le récit. L'écriture cunéiforme sumérienne est consignée sur des tablettes d'argile vieilles de plus de 13 5000 ans et ne présente aucune ressemblance avec une quelconque écriture secrète de « temple ».

De plus, le La langue sumérienne ne ressemble pas à l'allemand (cliquez ici pour un échantillon sonore). Cela contredit le rapport d’une langue qui « ressemblait presque à l’allemand » mais qui restait incompréhensible.

• La nature du message :

Les messages reçus par Maria Orsic étaient en allemand et codés avec un chiffrement de substitution simple. La disponibilité d'un clé chiffrée aurait permis de déchiffrer les textes. Cela remet en cause la prétention d'une langue totalement inconnue.

• Le symbole du Soleil Noir :

Un symbole central du nazisme ésotérique est le Soleil Noir, qui apparaît dans deux versions distinctes :

- Wewelsburg Version Soleil Noir:
Cette version se trouve à Wewelsburg, en Allemagne, qui servit de centre spirituel à l'idéologie nazie naissante sous le Troisième Reich. Ce n'est qu'assez récemment que l'on a affirmé que son dessin ressemblait à un Soleil Noir.

Ce qui n'est pas connu :

La mosaïque à rayons du « Soleil Noir » de Wewelsburg (conçue après 1934) s'inspire du bord décoratif du bol de Samarra. Ce bol a été découvert par Ernst Herzfelder vers 1914 et exposé plus tard au Musée de Pergame à Berlin. Son centre présente l'une des plus anciennes représentations de croix gammée connues. Samarra est située dans la région historiquement connue sous le nom de Sumer.

On peut étirer le motif sinueux du bol de Samarra pour qu'il corresponde à celui de la mosaïque de Wewelsburg. Il est étrange que les auteurs de « Le nazisme ésotérique » n'aient pas relevé ce lien sumérien.

- Nouvelle version de Black Sun tirée du « Projet Vril »:

Une autre version du Soleil Noir a été présentée pour la première fois dans la brochure d'Ettl « Le Projet Vril » de 1990, puis dans le pseudo-documentaire « OVNI : Les secrets du Troisième Reich » (1995). « Le Soleil Noir : La connexion nazi-tibétaine de Montauk » (1997) de Peter Moon présente également ce motif. Il est similaire à l'ancien drapeau de l'empire japonais. De plus, ce design accrocheur ressemble beaucoup au disque stroboscopique à 16 branches des téléviseurs mécaniques à faible bande passante. Ce type de téléviseur a été inventé en 1925.

En 1985, Carl Sagan posait une question hypothétique dans son roman « Contact ». Il demandait : « Et si les nazis n’avaient pas eu la télévision en 1936 ? Que se serait-il passé ? »

Quoi, en effet ? L'extrait vidéo ci-dessous est tiré du film sur les ovnis de Ralf Ettl.
qui a donné le coup d’envoi à la popularisation de la théorie du « Reichsflugscheibe » :

Ettl s'est-il inspiré du roman de Carl Sagan pour concevoir son « Soleil Noir » à partir d'un disque stroboscopique de télévision ? L'inscription « aldébaranienne » qui y figure pourrait-elle témoigner d'une « influence extraterrestre » ?

La version Ettl Black Sun
Le slogan de la Société de Thulé est inscrit sur le pourtour du graphique. Ce slogan est chiffré à l'aide du code de substitution allemand « Templar Script ». Il n'a rien d'extraterrestre. Spoiler : Voici la traduction (cliquez).

Au centre du disque, deux runes sont identifiées par Ettl et Ratthofer comme une double rune « EH » (ᚾᚾ). En réalité, la lecture correcte de la double rune Naudiz est « NN ». On peut interpréter cela comme une abréviation de « néo-nazi ». Ce détail suggère également que cette histoire est une invention d'après-guerre, car un tel groupe n'existait ni avant ni pendant la Seconde Guerre mondiale.


Conclusion

L'analyse des preuves disponibles révèle une série d'anachronismes et d'incohérences dans le récit du « Projet Vril ». Des affirmations erronées concernant une langue ancienne, des erreurs d'identification d'écritures historiques et un symbolisme contradictoire minent la crédibilité du récit du contact télépathique avec Aldébaran. Au vu de ces divergences, le contact supposé avec une espèce aldébaranienne doit être considéré comme entièrement fictif.

La littérature scientifique contient plusieurs fausses affirmations ; cette analyse se limite à l'affirmation de contacts télépathiques par des médiums de la société Vril. Presque toutes les autres affirmations sont également fausses. Malgré cela, Revell a créé un modèle d'OVNI basé sur les affirmations du projet Vril concernant les soucoupes volantes allemandes.

Verdict : FAUX


Références

  1. « Le son de l'ancienne langue sumérienne (Entemena de Lagash). » YouTube, https://youtu.be/3QticJ8mww4.
  2. Ley, Willy. Pseudoscience au pays nazi.
  3. Barkun, Michael. Une culture du complot.
  4. Goodrick-Clarke, Nicolas. Soleil noir.
  5. Pauwels, Louis et Jacques Bergier. Le matin des magiciens.
  6. « Le Projet Vril. » 1990.
  7. Farrell, Joseph P. Internationale nazie.
  8. Goodrick-Clarke, Nicolas. Les racines occultes du nazisme.
  9. Zündel, Ernst. Les OVNI : l'arme secrète des nazis.
  10. de Lafayette, Maximilien. Les OVNI, Maria Orsic.
  11. Livre de science de l'école ILU.
  12. Ettl, Ralf. Le Livre de Babylone.
  13. Fort, Charles. Le Livre des Damnés.
  14. Strube, Julien. La recherche du national-sozialisme ésotérique dans la vie des fils noirs.
  15. OVNI : Les secrets du Troisième Reich. 1995.
  16. Lune, Pierre. Le Soleil Noir : le lien nazi-tibétain de Montauk. 1997.
  17. van Helsing, janv. Geheimgesellschaften et ihre Macht im 20. Jahrhundert.
  18. Ratthofer, New Jersey Galaxie impériale d'Aldébaran.
  19. van Helsing, janv. Entreprise Aldebaran.
  20. Childress, David Hatcher. Vril : Les secrets du Soleil noir
  21. LES NAZIS « PREMIERS AVEC DES SOUCOUPES VOLANTES »
    https://trove.nla.gov.au/newspaper/article/139966106
  22. Les soucoupes volantes existent bel et bien, affirme un scientifique
    https://trove.nla.gov.au/newspaper/article/47626536
  23. UN INGÉNIEUR AFFIRME QUE LES PLANS DE LA « SOUCOUPE » SONT ENTRE LES MAINS DES SOVIÉTIQUES ;
    https://www.cia.gov/readingroom/docs/DOC_0000015471.pdf
  24. Nicolas Goodrick-Clarke
    https://en.wikipedia.org/wiki/Nicholas_Goodrick-Clarke

Sur l’existence des « Pléiadiens »

Le Projet Contact ne pourrait pas se qualifier de « Projet Contact » s’il ignorait les milliers de personnes contactées, d’expérimentateurs et de médiums qui ont affirmé avoir établi des contacts avec des êtres non terrestres. Je ne crois pas qu’ils soient tous des excentriques et des marginaux.

En tant que partisan de l'hypothèse des OVNI extraterrestres, je n'exclus pas la possibilité que des humains du futur visitent la Terre à l'heure actuelle. Michael Paul Maîtres a exposé ses livres. J'ai également des raisons de croire qu'il est possible de voyager plus vite que la lumière dans une bulle de distorsion. Par exemple, voir le travail de Érik Lentz, sur les bulles de distorsion plasmaCela ouvre automatiquement la possibilité d’un voyage dans le temps vers le passé.

Écoutez Seth Lloyd, MIT, sur le voyage dans le temps :

Fondation théorique

1 : Je crois qu’il est très probable que l’humanité future se soit répandue dans le cosmos. Par conséquent, lorsqu’ils viendront nous rendre visite depuis le futur dans le présent, ils voyageront dans des vaisseaux spatiaux. Le mécanisme du voyage physique dans le temps est exposé dans ce court article : «Notes sur le voyage dans le temps. »

2 : De plus, la théorie de la communication télépathique (ESP en général) peut être trouvée dans cette série d’articles : «Ondes cérébrales supraluminiques : imaginez un monde où les particules voyagent plus vite que la lumière dans une autre dimensionC’est la base d’affirmations crédibles selon lesquelles il existe une communication télépathique instantanée, s’étendant potentiellement sur des années-lumière.

Les concepts énoncés aux paragraphes 1 et 2 de la Fondation théorique sont uniques à ce site. Elles n'ont jamais été publiées auparavant, ni en science-fiction ni en science.


Qui sont les Pléiadiens ?

Le terme Pléiadiens-ou Extraterrestres nordiques— fait référence aux êtres humanoïdes décrits dans la tradition des ovnis comme provenant de l'amas d'étoiles des Pléiades.

Le Amas d'étoiles des Pléiades fait partie de la constellation du « Taureau », comme c'est le cas Aldebaran.

Selon les récits des personnes contactées et des canalisateurs, ces entités proviennent des planètes Erra et Temmer dans le Système stellaire Taygeta. Taygète est une étoile double dans la constellation de Taurus. Il est membre de la Pléiades amas d'étoiles ouvert (M45). Les Pléiades sont également connues sous le nom de « Sept Sœurs ». En Mésopotamie, ces « Sept Divins » étaient connus comme les dieux mineurs «Sebitti. Les prier empêchait les ennemis de faire du mal.

Image : Le Pléiadien Ashtar Sheran fait référence à un extra-terrestre être ou groupe (probablement « sept »), que certaines personnes prétendent avoir canalisé.

Les Pléiadiens sont souvent décrits comme étant grands, avec une peau claire, des yeux bleus et des cheveux blonds, ressemblant aux races humaines nordiques ou scandinaves. Ils sont une race hautement évoluée et spirituellement avancée qui vise à aider progrès de l'humanité vers une meilleure compréhension et une plus grande harmonie. Ces récits proviennent uniquement de témoignages personnels d'expérimentateurs et de médiums.

Allégations et contradictions en matière de communication

Les Pléiadiens sont prétendument rencontrés par contact direct ou par canalisation. Un personnage important dans ces récits est Achtar, une entité extraterrestre mentionnée pour la première fois par un OVNI contacté George Van Gland en 1952

Les déclarations de Van Tassel ont inspiré d'autres médias à en parler contact avec Ashtar, bien que leurs messages soient souvent contradictoires. Notamment, les prédictions d'atterrissages imminents de vaisseaux spatiaux liés à Ashtar ont échoué à plusieurs reprises, ce qui a porté atteinte à la crédibilité de ces récits.

Contexte astronomique : l'amas des Pléiades

Les Pléiades, un jeune amas d'étoiles ouvert du Taureau, se situe à environ 440 années-lumière de la Terre. Au total, les Pléiades comptent environ 1000 100 étoiles. Taygeta, une étoile binaire au sein de cet amas, fait partie d'un système sans exoplanète confirmée. L'âge de l'amas (150 à XNUMX millions d'années) pose un problème important pour les affirmations selon lesquelles il existerait une vie intelligente indigène.

Sur Terre, la vie simple est apparue après 500 millions à 1 milliard d'années, les organismes complexes ayant nécessité des milliards d'années supplémentaires. Étant donné la jeunesse des Pléiades, l'évolution de la vie humanoïde indigène sur Terre est astronomiquement improbable.

L'esprit humain et la projection anthropomorphique

La cognition humaine interprète souvent des phénomènes inconnus à travers des cadres familiers.

Cette tendance apparaît dans l'œuvre de Carl Sagan. ContactDans ce film, des extraterrestres prennent la forme du père décédé du protagoniste pour rendre une rencontre incompréhensible plus racontable.

De même, les descriptions des Pléiadiens comme des humains nordiques peuvent refléter un besoin psychologique de présenter des expériences extraordinaires dans des termes culturellement reconnaissables. Plus précisément, elles projettent des caractéristiques aryennes sur de prétendus extraterrestres. De plus, lorsque quelqu’un raconte avoir rencontré ou canalisé des « Pléiadiens », c’est essentiellement sa façon d’essayer de comprendre l’expérience. Ce faisant, il fournit une silhouette humaine avec des cheveux blonds et des traits nordiques.

En résumé, ces descriptions peuvent servir à combler le fossé entre l'extraordinaire et le familier. Elles aident les individus à donner un sens à leurs rencontres.

Fascination historique et spéculation moderne

L'intérêt de l'humanité pour les Pléiades remonte à des millénaires, comme en témoignent des artefacts tels que le disque céleste de Nebra, vieux de 3,600 XNUMX ans, qui représente l'amas. Bien que les étoiles des Pléiades soient trop jeunes pour accueillir des civilisations indigènes, certains spéculent que des êtres avancés venus de régions plus anciennes de la galaxie auraient pu coloniser l'amas. Pourtant, aucune preuve crédible ne vient étayer cette hypothèse.

Conclusion

Les affirmations sur les Pléiadiens sont ancrées dans la mythologie, la canalisation et la culture des OVNI. Scientifiquement, l'âge des Pléiades et l'absence de planètes confirmées rendent l'existence d'humanoïdes indigènes peu plausible. Bien que des colons extraterrestres puissent théoriquement habiter l'amas, de telles idées restent spéculatives. En fin de compte, le récit extraterrestre nordique reflète probablement l'humanité désir persistant de trouver la familiarité et la paix, dans les cieux comme sur la Terre.

Image : Le doigt de l'auteur avec une réplique du Disque de Phaistos Il provient de la civilisation minoenne de Crète, datant d'environ 1600 av. J.-C. Il est orné de plusieurs logos ou boucliers ressemblant aux Pléiades ou aux « Sept Sœurs ». L'alphabet et la langue utilisés sur le disque sont inconnus. 

Les Sept Magnifiques

À partir du deuxième millénaire avant J.-C., les « Sebitti » (Pléiades) étaient souvent représentées comme groupes de sept points. Elles avaient toujours un caractère masculin, et non des « sœurs ». L’icône sur le disque de Phaistos est donc peut-être une représentation des Sebitti, car il y avait un échange animé entre la civilisation mésopotamienne/akkadienne et la Crète.

À un niveau plus fondamental, il semble que les dieux mésopotamiens Sebitti aient trouvé une expression moderne. Cela se voit dans la croyance aux Pléiadiens du Nouvel Âge, parmi lesquels Ashtar Sheran.

Vérification des faits

  • Tarifs Distance:Les Pléiades sont à 444 années-lumière de la Terre.
  • Âge : :100 à 150 millions d'années (par rapport aux 4.5 milliards d'années d'histoire du développement de la vie sur Terre).
  • Planètes:Aucune n'a été confirmée dans l'amas en raison de sa jeunesse et de son environnement stellaire instable.
  • Potentiel de vie:Il faudrait plus de 500 millions d'années pour qu'une vie simple apparaisse, et bien plus longtemps pour qu'une vie complexe apparaisse. La chronologie des Pléiades rend l'intelligence native pratiquement impossible.

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Taureau : les « Cornes sacrées » d’un taureau au palais de Knossos en Crète.